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Somnolence au volant : définition
La somnolence au volant désigne l’état de vigilance diminuée d’un conducteur qui conduit alors qu’il ressent un besoin de dormir. Ce phénomène varie de la sensation de fatigue à l’endormissement complet et inclut les micro-sommeils des périodes de quelques secondes pendant lesquelles le conducteur perd temporairement le contrôle cognitif et visuel. La somnolence au volant combine des facteurs physiologiques (manque de sommeil, rythme circadien) et des facteurs externes (médicaments, alcool, monotonie de la route).
Qu’est-ce que la somnolence au volant ?
La somnolence au volant se manifeste par des signes observables : yeux qui piquent, bâillements répétés, difficulté à maintenir la trajectoire, pertes de concentration et micro-sommeils. Elle survient souvent la nuit, en début d’après-midi (postprandial) ou après une période prolongée de conduite.
- Formes et variantes : fatigue chronique liée au manque de sommeil, épuisement aigu après travail de nuit, somnolence induite par médicaments ou alcool, et micro-sommeils involontaires.
- Contextes d’utilisation : trajets monotones (autoroute), travail de nuit, conduite après privation de sommeil, transport routier professionnel.
Données et réglementation : selon diverses études, la somnolence est impliquée dans une part significative des accidents graves (estimations généralement comprises entre 10 et 30 % des accidents mortels selon les méthodes d’analyse). La réglementation européenne et nationale impose des temps de repos et des pauses pour les chauffeurs professionnels afin de limiter la fatigue ; par ailleurs, les constructeurs automobiles intègrent sur certains modèles des aides à la vigilance (alerte de sortie de voie, détection de baisse d’attention) pour prévenir ce risque. L’actualité montre une augmentation des technologies embarquées (capteurs de vigilance, assistance avancée) destinées à détecter et réduire les conséquences de la somnolence au volant.
Exemples de différents types d’amaxophobie
Exemple 1 : Marie, 38 ans, développe une amaxophobie après un petit accident. Elle accepte seul des trajets courts comme passagère mais refuse de conduire. Sa thérapeute propose une thérapie cognitivo-comportementale avec exposition graduée : visualisation, trajets très courts accompagnés, puis conduite supervisée. Après plusieurs mois, Marie retrouve confiance pour conduire en ville.
Exemple 2 : Paul, 27 ans, ressent des crises d’angoisse avant tout voyage en bus. Une prise en charge combinant techniques de respiration, restructuration cognitive et séances de réalité virtuelle (simulation de trajets) réduit ses symptômes et lui permet de reprendre les transports en commun.